ARY supprime les barrières techniques à la 3D

ARY supprime les barrières techniques à la 3D

Conçue pour les créateurs, la solution ARY propose une nouvelle manière d’accéder à la 3D : simple, autonome et sans barrière technique. La start-up française met à disposition des professionnels de la création une plateforme de visualisation 3D en réalité augmentée, accessible depuis une interface mobile (smartphone et tablette), conçue pour s’intégrer naturellement dans leur processus de travail. Des écoles de mode aux studios de design, ARY ouvre un nouvel espace de création fluide, sans code ni logiciel complexe et accessible directement depuis une tablette ou un smartphone.

Rendre la 3D accessible : une interface pensée pour les créateurs, pas pour les ingénieurs
Trop souvent, la visualisation 3D reste entre les mains de profils techniques ou industriels. ARY inverse la logique en plaçant l’utilisateur créatif au cœur de l’expérience. La plateforme ne nécessite ni développeur, ni compétences en code, ni environnement complexe à installer.

Grâce à la complémentarité entre la plateforme web et l’application mobile, les utilisateurs peuvent charger leurs fichiers directement depuis leur PC (par exemple depuis Blender, Rhino 3D, CLO3D, STYLE 3D, etc.) et les retrouver instantanément sur leur tablette ou smartphone via le même compte. En quelques clics, ils peuvent visualiser et projeter leurs objets 3D dans un espace réel. Qu’il s’agisse d’un vêtement, d’un objet de mobilier ou d’un accessoire, tout devient visualisable en conditions réelles.

Cette solution est notamment intégrée dans le cursus d’écoles de mode et de design comme outil de prévisualisation de looks 3D ou de prototypage d’accessoires. Les étudiants gagnent ainsi en autonomie et en compréhension visuelle dès les premières phases de création.

Une plateforme autonome pour créer, partager et présenter en toute liberté
ARY se positionne comme une véritable boîte à outils tout-en-un pour les créateurs 3D. Une fois leur fichier importé (depuis Blender, SketchUp, CLO3D, STYLE 3D, etc.), les utilisateurs peuvent configurer la présentation de leurs objets, les partager avec un simple lien, ou les intégrer dans un environnement spécifique.
La solution repose sur un modèle par abonnement sans engagement (avec une version gratuite), permettant à chaque utilisateur — freelance, PME ou étudiant — de maîtriser ses contenus et son budget, sans dépendance à une équipe technique.

Un créateur textile indépendant peut par exemple envoyer une visualisation 3D de son modèle à un client ou l’exposer en réalité augmentée lors d’un salon. De la même manière, une TPE dans le mobilier peut présenter un produit à distance sans logistique coûteuse.

Une technologie qui ancre la création dans le réel
ARY ne se limite pas à afficher un objet 3D : la plateforme permet aux utilisateurs de géolocaliser leurs créations dans l’espace réel. Un créateur peut ainsi positionner virtuellement ses œuvres dans un lieu précis — une rue, une vitrine, un showroom — et offrir une expérience enrichie et de qualité, accessible à distance via smartphone.

ARY se distingue par la possibilité de visualiser plusieurs éléments simultanément dans une même scène, chaque objet pouvant être ajouté et configuré individuellement, directement depuis l’application ou la plateforme web, sans passer par un logiciel complexe. Un créateur peut ainsi placer différents objets en réalité augmentée (tableau, lampe, meuble, avatar, silhouette, …) dans une même scène, en grandeur nature, miniature ou taille géante. L’effet produit s’apparente à du VFX, car il transforme la perception visuelle du réel grâce à des ajouts numériques.

Cette approche immersive et contextualisée transforme la 3D en outil de narration spatiale et réduit fortement les coûts liés à la création d’événements, qu’il s’agisse d’animer une vitrine, d’enrichir un magasin ou de valoriser un lieu culturel.

“Notre ambition est simple : faire de la 3D un outil du quotidien, pas un luxe pour technophiles. Notre technologie high-tech reste accessible à tous, avec une barrière technologique très faible”, explique Marie-Pierre Heurtier, co-fondatrice d’ARY.

Communiqué de ARY